Le camping, sans services, est situé en bordure de la route 117. A notre arrivée, il y avait déjà plusieurs personnes. Ce que nous constatons plus tard, ce sont des gens de passage qui utilisent l'endroit comme une halte. (Et c'est bien ce à quoi ça ressemble : une halte... à moins d'avoir des bons yeux pour lire les petites affiches que l'on voit difficilement.)
On cherchait un endroit calme où il y avait peu de monde... On a déménagé trois fois avant de finalement rester à un pas du lac... mais à deux pas de la route! (Heureusement le trafic est faible entre minuit et 5 heures)
La première fois que nous avons déménagé, c'était à cause de voisins de passage (on ne le savait pas à ce moment-là), ils étaient quatre adultes, deux gros chiens qui jappaient et surtout la musique à font la caisse! Très zen comme environnement! Hi! hi! Au deuxième site... on les entendaient toujours! Au troisième endroit, un des membres de la famille à côté de nous parlait si fort que nous avions l'impression de faire partie de la conversation. En plus, la boucane de leur feu envahissait l'habitacle de Matamata et nous étouffait par la même occasion!
Contente que tout se passe bien malgré les bruits du VR et les voisins bruyants!!! Hé, j'étais à Val d'Or aussi il y a un mois! Nous voilà maintenant installés tous les 4 au chalet du camp, à l'île, que vous connaissez! Température superbe, vent de liberté pour les filles, que demander de plus?
RépondreSupprimerMartine
Oups ! Si je peux me permettre une petite précision à propos des oiseaux... J'opterais plus pour de jeunes Grands Harles.
RépondreSupprimerJean
À Jean : Des Grands Harles ??? Dekecé ? De la même espèce que les huards ? Est-ce qu'on a l'air fou à penser que c'était des huards, vu que le cri était le même ? Est-ce que tu nous pardonnes ?
RépondreSupprimerVa falloir que je me procure le prochain guide de Jean Paquin. Je perds mes notions oisales.
Martiiine : J'ai peur de parler de toi à Val-d'Or et de déclencher une hystérie collective si je dis que je suis ton ami. Des fois que le monde m'arracherait mon linge. Si, si. On n'est jamais trop prudent.
En passant, on aime bien ça ici. Malgré les moustiques... et la canicule.
Les oiseaux sur les photos sont des jeunes... Ce qui ne signifie pas que vous n,avez pas entendu de huards... mais il s'agissait fort probablement de d'autres oiseaux.
RépondreSupprimerDétail que je trouve "intéressant", les huards n'ont qeu deux jeunes seulement par été.
Et je vous pardonne !
Bon séjour en Abitibi !
Jean