vendredi 31 janvier 2014

Traitements dentaires au Mexique? Un grand OUI !

Depuis quelques années, Camille avait des problèmes avec ses dents (sans compter celles qu'il a cassées lors de son accident, il y a deux ans). Le traitement au Québec est si cher, qu'il n'était pas vraiment possible de se payer ces soins.

Le Mexique est réputé pour ses excellents dentistes et ses bas prix. Nous avons obtenu des témoignages de personnes ayant profité des soins ici. 

Camille s'est laissé tenter.


Il ne s'agit pas de dentiers, mais bien d'une vraie dentition. On a utilisé ses dents naturelles comme support pour cimenter ses nouvelles dents en porcelaine. On les a replacées une par une. Selon les dires de Camille, c'est aussi confortable qu'avant. Très peu douloureux pendant le travail et, une fois les dents en place... douleur = 0 !!!

Au Québec, la soumission était de 37 000$! (Oui, oui, ce n'est pas en pesos, mais bien en dollars canadiens.)

Ici, les traitements effectués par un chirurgien-dentiste avec le même matériel qu'utilisé aux USA ont coûté... 3 950$

Pratiquement, dix fois moins cher que chez nous. Et pour la même qualité. (Mais comme dit Camille, même si la qualité était deux fois moindre, ça fait encore 5 fois moins cher). Et ce serait revenu encore meilleur marché si le dollar canadien n'avait pas tant perdu de valeur dans les derniers mois.

Nous avons 2 amis ici qui, après avoir vu le résultat, sont allés obtenir un rendez-vous avec le dentiste à Camille pour se faire faire la même chose. Le rabais paie amplement le voyage au Mexique...

Quelques photos du bureau d'Abraham López Sánchez, le dentiste en question:
















Le très sympathique docteur Abraham.


Le non moins sympathique Camille (avec un sourire plus éclatant qu'avant).


http://jaltembabaylife.com/clinica-abrahams


Un voyage au Mexique pour une nouvelle dentition et des vacances en même temps, ça vous dit ?

lundi 27 janvier 2014

Après la surprise, retour aux entrées régulières !

Voilà ! La grande nouvelle est annoncée et notre nouveau site est en ligne ! Revenons maintenant à nos entrées régulières...

J'avais fait pas mal le tour de notre périple en Basse-Californie. Maintenant dans les prochaines entrées, je vous parlerai de l'expérience de Camille chez le dentiste. Vous aurez droit à plusieurs entrées de photos diverses, je vous parlerai de notre expérience dans un cinéma mexicain... Bref, je vous raconterai nos activités, ici, à Lo de Marcos où il ne nous reste plus qu'un mois et demi à séjourner ! Que le temps file vite !

En attendant la prochaine entrée, quelques photos de papillons prises par notre ami Michel lors d'une sortie en Jeep.








jeudi 23 janvier 2014

Caravane Mexique Matamata : la surprise promise !!!!

Vous possédez vous aussi une maison voyageuse
et vous rêvez de parcourir les Amériques
en compagnie de Matamata ?
Ne relisez pas pour rien le paragraphe ci-haut, vous avez bien compris!

L'automne prochain, nous invitons 10 maisons voyageuses
à nous suivre dans nos périples aux États-Unis et au Mexique.

Et à un prix si ridiculement bas que vous penserez que c'est en euros
(mais non, mais non: c'est bien en — faibles — dollars canadiens!)

Cliquez plutôt sur l'image.

http://caravanematamata.blogspot.com

mercredi 22 janvier 2014

Surprise très bientôt

À tous les fidèles de ce blogue, surtout à celles et ceux qui nous suivent depuis longtemps, nous vous réservons toute une surprise dans les prochains jours !

Voulez-vous un indice de ce qui se prépare? Du grand projet que nous mijotons pour vous?

Eh bien, vous n'en aurez pas. C'est comme ça. 

Stay tuned ! comme disait Corneille en sniffant de la farine de froment.

lundi 20 janvier 2014

Playa Amor Rv Park, Aticama, Mexique

Deux jours avant d’arriver à Lo de Marcos, nous sommes passés près de San Blas dans un petit village du nom d'Aticama. Le camping où nous avons séjourné s’appelle Playa Amor RV Park et il est situé face à la mer.

Ce camping a deux sections  : d’un côté, la section eau et électricité sans égoût (où se retrouvent en général les caravanes de plusieurs VR, nous a-t-on dit) et la deuxième section (où nous étions) avec les trois services.

Bien qu’ici les propriétaires ne soient pas très loin et qu’il y ait un couple d’employés pour s’occuper des sites (un couple de Mexicains très sympathiques, d’ailleurs) les visiteurs (et importuns) peuvent entrer et sortir librement. Le camping n’est pas clôturé et situé entre le chemin principal et la mer. (On a appris, par après, des histoires un peu, disons, intimidantes à propos de ce camping.)

Mais, l’endroit est très bien entretenu et la vue y est magnifique !










vendredi 17 janvier 2014

La traversée La Paz - Topolobampo, Mexique, 2/2

À 18h45, un préposé avise nos voisins stationnés à notre gauche (un couple de Français voyageant en 4X4 modifié) d'avancer vers le quai d'embarquement. Nous suivons à la file indienne : leur véhicule, le nôtre et celui de nos amis Diane et Michel. Mais ! Il y a mauvaise communication ! Nous n'embarquerons que... 4 heures plus tard ! 

Nous sommes près du quai où les camions et les poids lourds défilent devant nous, à côté de nous, en arrière de nous... c'est un peu le chaos ! On veut faire entrer le MAXIMUM de véhicules sur les deux ponts du bateau. Alors, jusqu'au départ, à 23h15 (nous devions partir à 21h00), c'est la danse des véhicules qui entrent et qui sortent : trop large pour entrer là, trop petit, ici... vient ensuite notre tour d'avancer... On nous fait signe.

Camille conduit le VR jusqu'à l'intérieur du bateau où on lui demande d'avancer sur la plate forme qui nous montera sur le pont supérieur. Nous resterons sur la plateforme plusieurs minutes avant de redescendre. On voulait nous placer entre un camion et le VR de nos amis, mais c'était impossible de s'y faufiler sans casser nos miroirs et ceux des autres...





Nous sommes donc revenus à notre point de départ, le stationnement près du quai ! Tout ça de reculons! Bravo Camille ! 

Ouf ! Ils font monter d'autres camions et notre tour finit par arriver (enfin, je veux dire, finit par revenir). Et, hop ! Un autre petit tour d'ascenseur ! 

On nous place, enfin, a un endroit "dégagé". Contrairement à nos amis, nous pourrons sortir de notre véhicule... Eux, on les a coincés entre un muret et un camion, ils n'ont pas pu sortir pendant toute la traversée... Ouain ! Il ne faut pas être claustrophobe, c'est sûr !!

La traversée s'est passé sur une mer très calme ! La preuve: nous avons dormi comme des bébés jusqu'au lendemain 7h00. Et à 8h00, nous étions au quai de Topolobampo. 

Nous avons été dans les premiers à sortir, puisque nous étions les derniers à être entrés. Et encore une fois, Camille a dû sortir de reculons. Heureusement, les guides sur le bateau sont excellents.


Lever du soleil...


Collé-collé et bien attaché !

Heureusement pour nous, nous pouvions sortir...

Le lendemain matin...

Voyez comme l'espace est maximisé...

Magnifique lever de soleil...

Même sur le monte-charge on a placé un camion...




Me voyez-vous ?



Bon système d'engrenage... on l'espère !


Le quai de Topolobampo, Mexique.

mardi 14 janvier 2014

Douanes La Paz - Topolobampo, Mexique (avant la traversée) 1/2

Nous étions passés par La Paz une semaine environ avant de faire la boucle du sud. Nous y étions restés trois jours (comme je l'avais mentionné), entre autres pour nous procurer les papiers d'importation du véhicule (non nécessaires en Basse-Californie, mais obligatoires sur le reste du continent) et aussi pour réserver nos places sur le traversier. Nous avions décidé de prendre celui de la compagnie TMC sur lequel embarquent principalement des camions et des poids lourds. C'est moins cher que le concurrent BajaFerries. Le prix est en fonction de la longueur du véhicule. Avec notre véhicule de ±30' (10 m), le coût était de 550$CND.

Au quai de La Paz, il faut passer les douanes (pour vérifier les enregistrements des véhicules). Nous sommes arrivés en après-midi (vers 13h00). 

Nous avons dû faire la file (qui est en plein centre des deux voies de la route) avant qu'un agent, aussi souriant qu'un chien boxer, nous dise de passer. Une fois à l'intérieur de l'enclos servant de douanes, on nous a indiqué une nouvelle file à suivre.

Nous avons franchi un poste de contrôle où Camille devait presser sur un bouton. Si la lumière était verte, nous passions sans problème, si elle s'allumait rouge... on fouillait Matamata. C'est le hasard, a affirmé le douanier. Comme un billet de loterie... on gagne ou on perd.

On a perdu! (Ou on a gagné, je ne sais pas trop. En tout cas, ils nous ont fouillés.)







L'agent a donc demandé à Camille d'ouvrir certains coffres extérieurs et il est monté à bord pour faire une inspection. Il a ouvert une de nos armoires garde-manger (la seule armoire qu'il a ouverte, d'ailleurs !)... et plusieurs items lui sont tombés dessus. 

Petit malaise... Camille a tourné ça à la blague en disant qu'il était bien content que ce soit arrivé à un agent des douanes et non à lui-même, car, paraît-il, je l'aurais disputé. J'en ai aussi ajouté à mon tour... et l'agent a ri ! 

L'inspection s'est arrêtée là ! Haaa ! Ce qu'on peut être sympathiques, dirait Camille !

Nous avons poursuivi notre chemin (quelques mètres à peine!) jusqu'à la pesée du véhicule et l'endroit où on mesurait les équipements. Ensuite, nous nous sommes stationnés le long de la clôture, près de la pesée. Nous sommes descendus de Matamata et sommes allés chercher nos billets pour le passage sur le bateau. Par la suite, ce fut l'attente jusqu'au soir...






(La suite dans la prochaine entrée.)