lundi 26 novembre 2012

¡¡¡La policia!!!

Nous sommes allés magasiner à Puerto Vallarta avec nos amis Juan José et Luisa-Maria. Juan José conduit comme un Mexicain, c'est-à-dire quatre fois la vitesse permise. Arriva ce qui devait arriver : à la sortie de la ville, dans le secteur de l'aéroport, un policier (accompagné de trois collègues) nous fait signe. On vient de se faire pincer.

L'homme n'a pas l'air commode et, avec une tête de circonstance, indique à Juan José de se ranger sur le côté. Obtempération, il va sans dire.

Après les salutations d'usage, le gars à la mine fermée explique à Juan José les raisons de son interpellation.

― Je n'allais pas au double de la vitesse, réplique Juan José, mais il est vrai que je dépassais un peu la limite.

Le policier, qui vient de nous apercevoir Nancy et moi assis à l'arrière, change tout à coup de ton.

― Je vois que vous avez des invités, dit-il. Et c'est très bien. Aussi, pour le moment, je ne vous donnerai pas de contravention. Mais promettez-moi de réduire votre vitesse.

Et il nous souhaite un bon voyage.

Une fois qu'il est parti, on se regarde tous les quatre, en échangeant des mines incrédules.

¡Que amable!

C'est le moins qu'on puisse dire.

4 commentaires:

  1. Je ne savais pas que vous étiez une vedette même au Mexique! Ayoye! Francine ;0)

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  2. Si seulement mes éditeurs voulaient le comprendre. :-D

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  3. Pas encore assez le teint bazané pour passer pour Mexicains!

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  4. C'est du profilage racial, à mon avis. Faudrait peut-être aviser l'ONU.

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