En plus, à partir de la barrière nous devions faire 60 kilomètres avant d’arriver au site (donc 120 km aller-retour). La route est asphalté, mais très étroite et il y a beaucoup, beaucoup d’arbres de chaque côté ce qui fait qu’en gros VR, il est pratiquement impossible de passer sans accrocher, voire briser le véhicule. C'est un risque à prendre !
Nous voulions au départ laisser les VR sur le stationnement près de la barrière. Mais, le stationnement en question n’en était pas vraiment un, c’est-à-dire plutôt un espace sur la gravelle, plein de trous et de bosses avec une bonne pente ! Pas vraiment l’endroit que nous nous figurions ! D’un commun accord, nous avons décidé de poursuivre jusqu’à un Pemex pour la nuit… Mais nous nous sommes rendu jusqu'au camping de Maya Bell à Palenque ! (On en reparlera dans une prochaine entrée.)
De plus, en route, nous avons eu quelques désagréments: un client dont les freins étaient défectueux, notre chef de caravane qui a eu une crevaison, et un problème de carte de crédit dans un Pemex... avec certains employés un peu croches (pour être polis. Vous auriez dû voir Camille péter sa coche. L'employé était blanc de peur. Il ne s'attendait pas à tomber sur une proie aussi rébarbative. Il est reparti sans demander son reste) !
Quelques photos de la réparation de la crevaison par Joseph et son fils, Leonardo.
Des gens super sympathiques... como siempre !
Prochaine entrée de blogue : camping de Maya Bell à Palenque.
Ce billet est presque un thriller tellement il nous fait vivre vos aventures. Bonne route.
RépondreSupprimer@Réjean Robidoux : Merci !
RépondreSupprimerDans ce temps-là, on est très content que quelqu'un du groupe parle l'espagnol!
RépondreSupprimerEt qu'il connaisse tous les vilains mots.
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